Série LAdultère : (Partie 17). Mes Voisins Avaient Baisé Ma Femme.
J'ai passé deux fois le même texte. Pouvez vous remplacé celui d'aujourd'hui avec la 2e partie que j'envoie aujourdui.
Je mappelle Alain, comme je vous lavais dit dans mon premier récit, après une savante fellation, je sodomisais deux fois par semaine ma voisine Flavienne à linsu de ma femme Martine. Néanmoins, mon épouse avait, depuis quelques temps, changé de comportement, sexuellement parlant. Cen était fini des masturbations quelle me faisait afin déchapper au coït, je lui faisais lamour plus souvent et elle ne se couchait plus systématiquement dans la position du missionnaire. Elle prenait même mon sexe dans la bouche et cela, sans que je lui aie demandé.
La sachant pudique, je navais pas voulu insister sur le sujet. Comme ce nétait pas pour me déplaire, ce fut la raison pour laquelle, je ne lui posais aucune question et ne lui demandait aucune explication. Il mavait même semblé que la veille, sans être démonstrative, elle avait joui sous mes coups de boutoirs en la prenant en levrette. Il faut dire que Flavienne ma voisine, ce soir-là mavait excité au plus haut point, toute la soirée, nos caresses manuelles mutuelles avaient fait le reste.
Pendant un mois, jobservais son comportement et jétais maintenant sûr que Martine avait bien changé, elle demandait même que je lui fasse lamour alors que quelques mois plus tôt, elle essayait dy échapper de toutes les manières possibles. Ce soir-là, Jean-Claude et Flavienne étaient venus jouer aux cartes et après leur départ, javais la réponse à la question que je me posais : Que sest-il passé pour que Martine change à ce point-là ?
Mon épouse navait pas voulu débarrasser, ce nétait pas dans ses habitudes, elle se fit très câline et me demanda de lui faire lamour. Dès que je fus dans la chambre, elle sétait précipitée afin de se retrouver cul nu, à quatre pattes sur le lit. Lorsque javais mis ma bouche sur son intimité, elle était déjà mouillée, cela non plus nétait pas courant.
Martine ne mentait pas, nous parlions beaucoup ensemble, néanmoins par pudeur, le sexe nétait pas dans le sujet principal de nos discussions. Ce matin-là, nous allions nous lever, lorsquelle me dit dun ton suffisamment grave pour que jexécute son ordre :
Reste ici, je donne le petit déjeuner à Félix et je te rejoins, jai quelque chose dimportant à te dire.
Je fus très inquiet, je pensais quelle était au courant pour mon aventure extra conjugale que jentretenais avec la voisine Flavienne et quelle voulait men parler. Jessayais de trouver une excuse, sachant que je nen avais aucune. Il mavait semblé, que les quinze minutes dattente, nu dans le lit, furent les plus longues que javais vécues. Félix était devant les dessins animés, elle se recoucha à mes côtés et membrasa passionnément. Vu son comportement, jétais rassuré, je pensais quelle voulait remettre le couvert, ma verge commençait à monter rien que dy penser. Me voyant bander, elle me dit :
Ce nest pas cela mon chéri, après si tu veux mais pour le moment il faut vraiment que je tavoue quelque chose.
Oui mon amour ! Que veux-tu me dire ?
Martine était partie dans sa narration. Tout avait commencé peu après notre déménagement, elle était devenue très amie avec la voisine, elle se voyaient régulièrement, elles passaient des après-midis entiers sur notre canapé à discuter de tout, même de sa frigidité. Flavienne quant à elle lui disait quelle adorait le sexe et quelle ne pouvait sen passer. Depuis le début, Martine trouvait Flavienne magnifique, elle était en admiration devant le corps superbe de son amie et lui avait avoué un mardi après avoir emmené les s à lécole :
Que tu es belle Flavienne, je comprends pourquoi, les hommes te désirent.
Merci du compliment Martine. Tu veux en voir plus ?
Sans attendre la réponse et sans aucune pudeur, Flavienne enleva son tee-shirt et son jean, se retrouvant en sous-vêtements devant Martine. Elle fit un tour complet, ma femme les yeux admiratifs ne disait pas un mot. La voisine rompit le silence :
Toi aussi tu es belle Martine montre-moi.
Non jai des complexes, je suis trop petite et ma poitrine ne vaut pas la tienne.
Flavienne en soutif et string, lui pris les mains, la leva du sofa et entreprit elle-même de la dénuder. Elle passa ses mains sur sa poitrine, sur ses hanches, sur ses fesses rebondies et finit par les jambes :
Tu vois, tu es parfaite. Dit-elle en lui prenant les seins à pleine mains. Regarde comme ils sont mignons, tes tétons sont magnifiques et pointent quand on les touche.
Flavienne passa sa main sur une fesse tout en malaxant son sein de lautre. Elle se pencha pour lembrasser, Martine eut un mouvement de recul, cétait la première fois quune fille la pelotait et voulait souder sa bouche à la sienne. Elle était tétanisée par la surprise. Plus forte quelle, Flavienne lattira un peu plus contre elle et força de sa langue le passage entre ses lèvres. Martine sabandonna et rendit son baiser :
Non ! Flavienne nous ne devons pas, ce nest pas correct.
Très bien ma chérie, tu as raison, tu nes pas prête mais sache que tu me plais beaucoup.
Elles sétaient revêtues et avaient repris le cours de la discussion sur leurs s sans plus aborder le sujet. Après le départ de la voisine une heure plus tard, Martine sétait rendue compte que la situation lavait très excité, elle avait mouillé sa petite culotte. Quelque peu vexée par les propos de Flavienne, le lendemain elle avait embrassé son amie et toutes les deux avaient fini nues dans la chambre damis à se lécher et caresser toutes les parties du corps.
Les deux femmes se retrouvaient au moins une fois par semaine les bras lune de lautre en se cajolant. Les doigts furent remplacés par des petits jouets en silicones. Flavienne avait essayé de montrer à sa partenaire les joies de la sodomie mais Martine avait toujours refusé mais enfonçait volontiers un gros sextoy dans lanus de la voisine qui en raffolait. Elles ne se cachaient rien, elle se disaient tout ce quelles faisaient avec leur mari respectif et pour Flavienne ses amants car elle ne laissait pas Jean-Claude lenculer. Cétait dans leur accord de principe, tous les deux gardaient la sodomie, pour leurs aventures extra conjugales.
Pour quelle raison lui avait demandé Martine. Flavienne lui expliqua que ses deux jumeaux furent conçus par deux pères différents. Le premier était bien de Jean-Claude mais le deuxième dun de ces deux amants. À cette époque, elle ne prenait plus la pilule, elle voulait un , cependant elle continuait à baiser avec trois mecs en même temps, tous les soirs de la semaine, son vagin était rempli de sperme lors de ces parties à trois.
Cétait très rare car une femme qui ovule tous les mois libère en principe un ovocyte par cycle. Pour certaines femmes, cette production est doublée. Il était donc possible que les gamètes femelles présentes, soient fécondées. Il sagissait dune superfécondation. Cétait son cas, le gynéco était formel, ses deux ovocytes furent fécondés par deux spermatozoïdes différents. Puis elle revint sur son cas et lui dit :
Tu vois mon chéri, jai honte. Je tai trompé avec Flavienne
Ce nest pas grave mon amour. Lui dis-je en la serrant contre moi.
Bien entendu, jétais jaloux, néanmoins jétais en érection depuis le début et en entendant son histoire, je ne débandais pas.
Ce nest pas tout mon chéri. Attend encore
Déçu et résigné, jétais tout ouïe pendant quelle poursuivait son histoire. Leurs ébats amoureux lesbien, se passaient toujours chez nous, cependant ce jour-là Flavienne voulait montrer son nouveau lit à ma femme. Les voisins avaient acheté un King size de 200x200 et elles en avaient profité pour lessayer. Flavienne administrait des caresses très intimes à Martine qui avait les jambes écartées, la tête de sa partenaire entre ses cuisses et ses doigts dans son intimité, lorsquelle sentit deux mains lui massant les seins et caressant les tétons durcis par lexcitation.
Ayant les yeux fermés, elle ne sapercevait pas que Jean-Claude était présent dans leur chambre. Elle sen rendit compte lorsquil avait posé sa bouche sur ses lèvres. Instinctivement pris dans le feu de laction et par lexcitation grandissante, elle embrassa Jean-Claude à pleine langue. Les voisins lui faisaient tant de bien quà aucun moment, elle avait refusé tant damour, elle en jouit de plaisir. Elle prit un autre orgasme lorsque, ayant échangé leur position, la bouche de Jean-Claude aspirait son clito et ses longs doigts avaient pris possession de son vagin et de son anus pendant que Flavienne lembrassait pendant que ses doigts trituraient ses mamelons.
Sans était trop pour Martine, elle avait très envie de recevoir en elle une vraie verge et celle de Jean-Claude était bien plus vivante quun sextoy et de belle taille. Elle sétait positionnée pour, elle tenait le sexe de son voisin et avait le gland entre ses deux grandes lèvres lorsque Flavienne les interrompit :
Non ! Mon chéri, tu lencules sinon rien. En sadressant à son mari et en poursuivant : Tu veux quil te sodomise ?
Non ! Je ne ferai jamais cela.
Mon épouse se rappelant leur pacte, ne dit rien quand Jean-Claude tout penaud avait quitté la pièce. Les deux femmes navaient pas continué ensemble leurs petits jeux érotiques. La fête était finie.
En quittant lappartement, Martine encore très excitée, vit Jean-Claude sur le palier, il lui prit la main et lavait emmené dans le sous-sol. Elle était prête à se donner à son amant, ils avaient tous les deux très envie lun de lautre. Ils sétaient embrassés dans lascenseur pendant toute la descente des dix étages. Arrivés dans sa cave, ils se dévêtirent, Jean-Claude lui demanda de le sucer, elle avait appris sur une verge en plastique avec Flavienne, sans être une experte, elle fit le nécessaire pour faire bander son amant même si cette pratique nétait courante pour elle.
Martine pensa quil allait la baiser en levrette, elle était penchée en avant les bras sur le dossier du divan, le cul tendu en arrière. Lorsque Jean-Claude avait présenté son sexe sur sa rondelle violacée et commença à pousser, elle comprit immédiatement ce quil voulait faire. Il nen était pas question et lui dit :
Non ! Pas ça ou je men vais.
Tu verras, tout se passera bien. Lui répondit le voisin en la relevant et en lembrassant une nouvelle fois.
Non ! désolée Jean-Claude je men vais.
Martine pleurait lorsquelle finit son récit, je lavais consolée en lui disant quelle fut prise par surprise et que cela navait plus dimportance, quelle nétait pas aller jusquà baiser avec lui :
Tu ne sais pas encore tout mon chéri
Puis elle était repartie dans ses explications. Le lendemain soir, les voisins étaient invités à la maison, pendant que nous étions avec les s Flavienne et moi, Jean-Claude commença à la caresser, Martine prit peur, elle ne voulait pas être surprise mais pour arriver à ses fins, il lui avait dit que nous faisions pareil. Lorsque nous étions revenus, Martine nous avait observés discrètement, elle vit que Flavienne me masturbait doucement, pendant que je la doigtais à la moindre occasion.
Tout cela lavait fortement excitée, elle laissa, les doigts de son voisin fouiller avec plaisir, son intimité, alors que sa main caressait la verge tendue de Jean-Claude. Tous les soirs lorsquils étaient chez-nous, Martine et Jean-Claude se caressaient, elle lui massait son sexe pendant quil lui doigtait le vagin. Cétait pour cette raison que hier soir elle voulait tant faire lamour avec moi. Puis elle continua en disant que leur couple était libertin et quils pensaient que nous pourrions faire de léchangisme :
Tu ne rêves pas, ils mont proposée que lon fasse lamour à quatre dans leur grand lit. Je te préviens tout de suite, jai refusé.
Tu as raison mon amour, nous sommes très bien comme ça, je taime.
Moi aussi mais dis-moi. Las-tu enculée la salope de Flavienne ? Je veux la vérité, mas-tu trompée.
Au point où jen étais, elle savait déjà pour les attouchements intimes que nous nous prodiguions, je ne pouvais plus lui mentir et je lui avais raconté comment tout avait commencé. Je ne me cherchais pas dexcuse, je lavais bien trompé avec la voisine, néanmoins beaucoup dhommes mariés seraient tombés dans ladultère avec Flavienne et comme moi, lauraient sodomisée :
Tu as raison mon chéri, merci de ta franchise. Regarde ce que jai entre les jambes.
Martine se tourna, releva sa nuisette et baissa sa culotte. Dun geste elle retira un plug de son cul dans un bruit de succion :
Tu peux menculer maintenant, je ne veux plus que tu me trompes, je suis prête à te recevoir et je suis pressée de connaitre ces sensations de plaisir.
Depuis cette matinée denfer où je connus avec ma femme, fellation, anulingus et sodomie, pour mon plus grand plaisir, Martine était totalement épanouie sexuellement. Nous avions stoppé toutes relations intimes avec eux, nous restions courtois comme avec tous les voisins, mais ils ne venaient plus à la maison. Ne pouvant plus payer leur loyer, ils avaient déménagé en HLM, à la fin de lannée.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Alain vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!